lundi 6 décembre 2010


Another day begins,
The stars are falling out, my dreams are fading out
I'll be keeping my eyes wide open. - The Fray

I've been secretly awake in the dark,
waiting.


Please don't ask me to be something else,
it's hard enough to be.





samedi 20 novembre 2010



I don't feel anything.

And this is freaking me out.

My eyes don't get red anymore,

My heart isn't jumping either.


My head is cold as the coming winter.

mardi 2 novembre 2010


Sorrow completely ruins my beauty sleep.

You drain so much energy from me.
You expect greatful joy of me every morning,
when you left me in tears the night before.
Nights of cold sheets and blank dreams,
need mornings of hot showers to wash it away for the arising day.

Twisted from right to left,
I feel desoriented.
I wish for mornings of goosebumps and goodbye
with nights of smiling eyes and happy thoughts.

just goosebumps and a lovely smile.

jeudi 28 octobre 2010

T'étais pas sensé me suivre.

C'était pas dans mes plans.
J'devais partir et t'abandonner à la fois.
C'est comme ça que ça aurait dû se produire.

Mais en vrai, tu n'as jamais quitté.
Ici, tout est différent, et t'es toujours là.
Et maintenant je sais plus où aller... pour être juste moi.
J'angoisse et j'ai peur que tu me taillades le ventre toute la vie.

Tu me connais trop bien et tu colles à mes envies.
Tu rajoutes des mais dans tous mes soupirs.
Et je retombe à toutes les fois;
les genous plein de bleus, au son de mon coeur bleu.
Le même bleu qui coure dans mes veines à chaque seconde pour me rappeler ta présence.
Comme l'infini est bleu.

Bleu c'est pas ma couleur,
j'ai des noisettes dans les yeux.

jeudi 9 septembre 2010



Les sentiments que j'ai creusent un énorme trou.
Comme un trou d'eau qui se rempli de la pluie,
et l'eau du ciel qui se déverse sur le trottoir.

Un trou de sentiments vides.
Des larmes incolores qui foulent mes paupières.
Des larmes qui goûtent rien.

J'ai un verre d'eau qui va me sortir de la poitrine.

J'sais pas encore si ça va me noyer ou me réveiller.. ?

mardi 7 septembre 2010



Bonheur pétillant;
Freeze on real life,
Sparkling fire to dreams.

Make it happens.

mercredi 25 août 2010



Stop following meee.
Go stick to somebody else's weakness.

**

Moi aussi.
C'est deux mots-là m'ont bouffé l'oxygène tout l'après-midi.
Moi aussi je veux.
Moi aussi je voudrais tant bouger.
Svp, moi aussi.


« j'dois l'avoir mérité »

Je me demande jusqu'à quand je ferai punition.
Pour l'instant, j'absorbe toutes tes répliques.
Je m'auto-mutile intérieurement pour soulager ma conscience,
pas complètement rose.

Je pense pas vraiment avoir voulu faire différent pour l'avant,
mais pour l'après, j'ai rééouvert la porte.

Pi j'tinvite.
Viens donc.

jeudi 19 août 2010



Mes mains qui touchent pas au volant.
Nos lunettes fumées sur le nez, parce que même si il pleut dehors, c'est encore le soleil de la plage dans mon auto. On s'époumonait les chansons, avec beaucoup de voix et les mauvaises paroles aussi. Trois iPods et autant de cafés. Le bonheur c'était ça: la plus grosse playlist du monde et 6h de route à partager.

Maintenant on le sait que ça prend un seul message text pour gâcher tout ça.
- Fin du road trip de film

On s'arrête dans le brouillard.
La musique fait silence et personne ne parle non plus. La chaleur est invivable, on ouvre les portes et on s'éloigne de l'épicentre. L'air se respire tellement mal, même avec la pluie qui martèle notre visage. On se retient juste pour pas tomber en bas de nos jambes tremblotantes... Il restait seulement une heure de route.

Ce qui se passe en vacances reste en vacances. Même que la réalité se pointe avant que tu reviennes chez vous.

mercredi 11 août 2010



Minuit - 00:00
mon oreiller est sec,
j'pense sur le côté.

Tsé, j'suis pas toujours triste dans le noir.


(Regarde encore la photo.
Et maintenant, t'en penses quoi?)


I was in a plane to Panama
And a fly landed on her thigh
And I thought I brushed it off quite brashly
I introduced myself
And she said her name was sky.

A simple Hi and I could tell
That her plainness was well seamless
And somewhere deep inside
She drove a calm and weightless determination

And to what lands her mind would travel
I don't know but I was so curious
I had to keep on thinking of her floating through the clouds Yeah


I asked her whether she enjoyed being in the air
And airily she answered with an accent so careful
I could feel each syllable while
I love things that seem impossible
I love things that seem impossible

[...]

- Panama, The Cat Empire

mardi 10 août 2010


[...]

- AHAHA, comme si on avait 9 ans!
- J'ai encore 9 ans, souvent.


Je vis bien avec ça.
Je pense aussi que la prochaine fois, on va réussir à rire.
Ok, pas aux larmes, mais pour de vrai au moins.

J'continue à penser que t'as un peu perdu le nord,
Quoique ça ne t'empêches pas d'avancer, tout comme ça ne m'empêche pas de partir de l'autre côté.

J'sais pas.
Ça doit être que notre carte du monde nous amène pas au même trésor.

(Remarque qu'on sera plus riches avec deux coffres d'or.)

dimanche 8 août 2010



Can't agree more.

vendredi 6 août 2010



On ne sait pas quels mots utilisés pour décrire nos propres vies, mais l'ironie quotidienne de tous les jours nous fait beaucoup rire. On discute de tout, mais on connaît les limites de l'une et l'autre. Avec le coeur frêle comme une feuille de papier, faut surtout pas provoquer les étincelles. Un café, un coin de table et on se réchauffe en même temps. Je crois que c'est ça l'idée; s'asseoir dans les marches, partager un bout de croissant et mâcher au même rythme. Se décharger de la moitié de sa peine quelques instants.

On ne sait pas trop comment se sauver, mais au moins, on sait exactement où se retrouver après la tempête.

jeudi 5 août 2010



J'ai tellement répéter ces mots dans ma tête que je n'étais plus certaine de ne pas les avoir révélés à quelqu'un d'autre. Mais, j'racontais mon histoire seulement qu'à moi-même. Ouff. (Je suis définitevement mon meilleur fan.)

Ahhh pis je le sais quoi faire, mais je veux pas.

Mais ce jour-là, j'avais pu le choix, j'ai mis l'angoisse à off;
et j'ai quand même essayé.

Je l'ai regardé droit dans les yeux, malgré l'eau qui embrouillait les miens. Avec un gros sanglot entre les côtes, je pouvais juste pas sortir un son. Je la suppliais du regard, si intensément...
Je voulais qu'elle aligne les mots pour moi.
Allez, regarde dans mes yeux, tout est là.

- Ça me semblait être aussi évident qu'une pancarte lumineuse de 10 pieds, au beau milieu de la route, sur laquelle flash un immense SOS en néon rouge -

Après avoir écouté deux phrases, je voulais lui crier dessus.
J'pleurais de rage maintenant.
Pas la bonne personne.
Déception de plus.


On est toujours seul.


Ça me rend heureuse pour toi de savoir que t'es en amour.
Aime fort, pour tous ceux qui n'ont personne de qui prendre soin.
J'suis un peu jalouse...pas de elle, mais de toi.
Laisse battre ton coeur amoureux,
elle te le rendra bien.

Ça me rend triste pour toi quand je vais t'annoncer
que t'es pas le mien.
Ne me déteste pas, le moment est mal choisi.
L'Université et ses histoires recommencera bientôt, t'en fais pas.
Tout va bien aller, tes yeux sont magnifiques.
Les filles aiment les yeux verts.

J'repousse tout le monde pour m'en aller l'esprit en paix.
Je ne sais pas ce que je veux, ou même, si je cherche.
Bref, je ne veux pas savoir pourquoi, mais ça me rend zen.

lundi 2 août 2010



Normalement,
aujourd'hui j'aurais eu le droit de te détester.
Sauf que j'ai pas 1 minute à perdre à me rappeler de ton petit esprit.
J'ai le sourire qui illumine mes yeux, et ÇA, c'est important.

Soudainement,
t'es sans aucune importance.
J'aime penser que tu peux disparaître si vite maintenant.
Maintenant que je le sais; je vais m'en souvenir. ;)


« Je suis désolé de pisser sur votre osti de parade de confettis et de fluo sucré, mais j’ai que ça, du chialage, à offrir. » - Éric Chandonnet

vendredi 30 juillet 2010



Et si je savais que j'allais mourir bientôt;
qu'est-ce que j'aurais envie de te dire?

C'est excitant parce que tu te dis que tu peux tout dire, absolument tout. Que t'auras pas à dealer avec les conséquences et les critiques des autres. Que tu peux tout dire, sans cachette, sans subtilité, sans faire attention. Que ça devrait être totalement vrai et libérateur. Alors tu écris tes dernières phrases sans jamais te relire. Tes doigts ont peine à toucher le clavier tellement les idées se bousculent.

En fait, non.
En réalité, tu veux terriblement écrire.
Même le curseur tape du pied en s'impatientant.

Mais tout ce à quoi tu penses c'est; laisser tes derniers soupirs se débrouiller tout seul, sans pouvoir les soutenir, les défendre.. et voir son visage qui te comprend pas. Voir tes idées se tordent dans sa perception et le mauvais sentiment tourmenté son coeur, pour toujours. Les dernières impressions, c'est encore pire que les premières, t'as aucune chance de prouver mieux.

Alors je me tairais, comme à mon habitude. Espérant secrètement que les souvenirs de moi soient suffisants.

mercredi 28 juillet 2010


Ç'a changé la mienne en tout cas.

mardi 27 juillet 2010




Ce qui me donne envie (en ce mardi après-midi) de manifester les symptômes d'une H1N1 sévère, genre souche-de-Corée-du-Nord: « Ket'chose de ben, ben contagieux ».

lundi 26 juillet 2010



Tu me serres dans tes bras et je suis surprise.
Autant de sincérité, ça fesait presque longtemps.

Je regarde à l'horizon et je me dépêche à refouler les émotions qui s'intensifient. rapidement. Je te réponds: « moi aussi » et j'esquive un sourire qui va t'empêcher de t'inquiéter, je l'espère. J'y ai pensé; à lâcher 2-3 trucs... mais mes yeux vitreux le supporteraient pas.


M'asseoir dans l'axe du soleil,
et le regarder directement, à travers les branches.
Plisser les yeux. Me concentrer sur la chaleur qui traverse ma peau. Toucher ma poitrine, saisir la chaleur du bout des doigts.

Écouter les battements de mon coeur; plus réguliers, au contact de cette chaleur. Fermer les paupières, imaginer les rayons du soleil faire des vagues dans les reflets de mes cheveux. Apaiser mon coeur avant la tombée du jour, expirer.

Dire bonne nuit et à demain.
S'il te plaît.

vendredi 23 juillet 2010



J'suis peut-être rendue au stade de me dire:
Ben, on aura au moins eu ça.

Savoir quand c'est le moment de lâcher prise;
ça demande de laisser ses envies dans le garde-robe
et de comprendre qu'il y a autre chose au loin,
même si on le voit pas encore.

J'ai la ferme certitude que c'est une qualité rare
(pas comme gentille ou authentique)
À ma connaissance, c'est pas aussi répandue.
Ça prend un parcours un peu...moins glam, mettons.

Je déteste toujours ce moment où je m'en rends compte.
Il me fait peur, j'angoisse.
Inévitablement: tornade d'incohérences et d'incertitudes, avec l'impression que la tempête sera infinie.

Mais à la fin, je ne regrette jamais ma décision, ou exceptionnellement.
J'aime mieux m'en aller par moi-même que d'y être forcé.

Je trouve que ç'a quelque chose de respectable.

vendredi 16 juillet 2010



Été prolongé; t'es tout ce que je désire aujourd'hui.

mardi 13 juillet 2010



« -Ma fille, t'es fuckée. J'te suis pas. Même pas le goût d'te suivre, en plus. As-tu demandé à ta psy qu'elle te prescrive quelque chose? Tsé, quelque chose pour te donner l'gôut... d'vivre?

-Non, j'veux rien savoir de ça. Pis tsé quoi le pire? J'vais te troubler en sacrament en te disant ça, mais. J'ai l'gout de vivre. Je fais attention à ma santé physique et mentale depuis toujours. Je me bas à chaque seconde, pour vivre le plus possible. Plus que tu ne pourras jamais le faire. Mais je ne sais plus comment le faire- je ne sais plus comment apprécier cette vie.
Oui je sais, c'est négatif en crisse. Pessimiste. Noir, sombre. On a pas le goût d'entendre ça. Pas le goût d'se faire chier à m'écouter encore être mal. J'sais tout ça, papou. J'suis triste aussi que Maman lise ça et qu'elle ne comprenne pas ce qui me bouffe l'intérieur. Avec ses grands yeux verts. Elle n'a pas envie de lire ça, lire que sa fille se meurt. Je sais.
» - Traité d'incohérences


J'essaie de faire le contraire de ce que je fais toujours, et je fonce, le coeur sous le bras. J'ai peine à tenir mon épée droite, mais je cours au champ de bataille, avec la vigueur d'un inconscient. Je me rends compte progressivement que j'ai pas l'habitude de mener; j'ai même pas deux soldats derrière moi et ... on repassera pour le discours qui enflâmme les passions. Plus j'essaie de me protéger, plus je me sens vulnérable sous mon armure que je trouve trop lourde; malgré moi.

Mais je devrais être capable toute seule maintenant. J'ai besoin de gagner.

lundi 12 juillet 2010



Je trace des lignes.
Faut marcher au milieu du chemin.
Pas bon déborder des lignes.

Et si j'étais partie du mauvais côté?

Ramène-moi à la maison.

vendredi 9 juillet 2010



J'suis aussi habile à gérer mes émotions qu'à
manier un ballon de basket, c'est-à-dire pas pentoute.

jeudi 8 juillet 2010



Parfois, je poursuis mes rêves l'esprit réveillé, juste pour avoir un petit peu le contrôle. Comme hier.

On était dans un petit resto de quartier, comme dans les films américains; avec des tables rétro, des carreaux rouges sur le sol et une serveuse derrière son comptoir des habitués. T'étais assis devant moi, avec les reflets miel du soleil dans tes yeux. Ce regard-là, il me fige. Donc, je fais tourner le pot de sucre dans ma main puisque j'ai déjà plus de café à boire. (Quand les bons mots trouvent pas la sortie, faut au moins empêcher les gaffes de crier tout fort.)

Tu gigotes les sous dans tes poches. Ça m'énervee.
D'ailleurs, toi non plus t'es pas très bavard.
C'est la serveuse qui le plus de phrases à son actif.. ouin.
On est là pourquoi déjà?!

Ah oui.
« Tu vas bien? » - mon dieu que je suis ridicule. « Ça va. toi? » - bon, si je dis oui, on aura plus rien à se dire. Finito. Si je dis non, tu vas peut-être comprendre que je t'aime encore, mais tu vas continuer à me poser des questions, à me parler... « Non.. pas tellement » - moi qui est stratégique, mais pas du tout en contrôle. « Qu'est-ce qui va pas? » - Je rêve ou c'est une formule d'usage? Tu t'en fou..? « J'ai l'air si heureuse que ça moi? » - merde, j'aurais pas dû. « Je sais pas, c'est toi qui le sait. » - ...et froid de fond de congélateur. « Ben non justement, non. Oui je le sais.. Mais non, j'suis pas heureuse. ouin, non. » - clap clap. Je m'enfonce de plus en plus.

Les crêpes tombent devant nous. gros bruit de céramique lourd.
La serveuse nous regarde et avec son plus beau sourire industriel nous demande: « Voulez-vous du sirop d'érable, pour partager? Y'en a toujours assez pour deux. »
« Non merci, on partage plus rien » - qu'il a répondu.

- CADRAN -


Hier, j'mangeais des toats dans mon salon, et j'arrivais pas encore à digérer la fin.

mercredi 7 juillet 2010

Canicule | champ lexical



Soleil fondant
Bleu du ciel
Brise passagère
Trottoir brulant
Odeur collante
Expiration suffocante
Lâcheté paralysante
Phrase épuisante
Perle sur la nuque
Douche revigorante
Frisson climatique
Crème glacée arc-en-ciel

Amour d'été
Lune rose
et dormir à la belle étoile

mardi 6 juillet 2010


Never underestimate the importance to put back things in their context.


La vie fait son maximum d'efforts pour me rendre bipolaire/schizo.
Puisque j'ai déjà une base de weirdo, je vais pas lui donner ça facile.
Moi aussi j'capable de piocher dans les murs,
marcher au soleil et courir dans le noir.
Je sais retenir la vérité et cacher mon jeu.
J'oublie pas et j'abandonne seulement à contre-coeur.

Tu connais mes forces,
j'te dirai pas mes faiblesses certain... j'pas encore folle.

lundi 5 juillet 2010


Women blink nearly twice as much as men - Anonyme

Mon dialogue avec God



- Parce que j'ai RAISON
- Quelle raison de marde..
- Ouin mais ça aucun sens. Tu me comprends-tu?
- Ok, ouin. Mais tu le penses pas.
- Oui /catégorique.
- Euhh non /sur le même ton.
- ...oui, quand même /tellement moins convaincant.

C'est mon propre orgueil qui me pousse en bas des marches. J'ai le tour de me faire ça moi-même. Juste parce que j'ai pas le goût de dire que en haut, ça me donne drôlement le vertige. Reste que après la chute, je me retrouve en bas avec tout plein d'ecchymoses...

J'feel tout croche, peu importe sur quelle marche je me tiens.

« Une contusion ou ecchymose est une sorte de traumatisme, généralement causé par un impact, dans lequel les capillaires sont endommagés, permettant au sang de se diffuser dans les tissus avoisinants. De nature en général mineure mais douloureuse, les ecchymoses peuvent être légères, entraînant un hématome, ou peuvent être associées à des traumatismes graves, parmi lesquels les fractures et les hémorragies internes »
Ouin, c'est ce que je pensais; j'ai des ecchymoses dans la voix.

vendredi 2 juillet 2010



..entirely wrong, yes. haha. :)

jeudi 1 juillet 2010



Fate is like a strange unpopular restaurant filled with odd waiters
who bring you thinks you never ask for and don't always like.
- Lemony Snicket



Si tu lis ça,
c'est que t'es venu ici
en te disant que j'allais
avoir écrit sur toi.

Non.

mercredi 30 juin 2010

mardi 29 juin 2010







Secret #1: J'espère que tu me crois quand j'te mens.


J'vous déteste tous les 3 pour une raison différente.
Je me suis tellement pas méfier de la bonne façon.

Toi, j'te voyais venir de la droite;
pi de loinnnn.
J'avais prévu à l'avance chacun de tes pas jusqu'à moi,
et j'étais vraiment prête. Je t'attendais avec mon ptit air moqueur, les bras croisés et le sourire en coin. Très prévisible; ça allait être si drôle. Un coup de vent. Et ça devait seulement m'amuser. Mais tu sonnes différent, ta musique est tellement...pas toi. C'est fort, c'est doux et j'veux danser. Qu'est-ce que tu me fais là?

Ah pi toi, j'ai gaspillé des heures à te montrer le chemin.
J'ai coloré presque toutes les rues pour toi, j'ai à demi crié ton nom dans le tunnel. Le parc juste à côté m'a vu graver ton nom, 36 fois (et surment 37). Je suis finalement sortie, la pluie sur mes cheveux et l'orage dans mon coeur; j'suis retourné le rayer, l'oublier. 3 semaines et plus un soupir pour toi. Mais tu m'as fait le coup de lancer des roches dans ma fenêtre alors que je contournais les rêves que tu m'envoyais. Pourquoi dois-je m'en aller pour que tu veules me suivre? Arrête de courir, j'veux me perdre sans toi.

Toi, t'es ma plus grande envie.
Je n'ai pas encore mal, et je souhaite autant ne plus te revoir que t'embrasser dix millions de fois. J'connais pas tes yeux, les miens sont toujours fermés quand t'es à côté de moi. Je déteste que tes mains sur moi savent exactement où se poser. On s'est dit aucune parole.. aucune audible en tout cas. J'aime aussi fort que je voudrais détester. C'était la dernière fois.

Laissez-moi reprendre mes esprits, deux secondes.

lundi 28 juin 2010



Make it Stop.
I can't figure it out either.

vendredi 25 juin 2010





Enjoy yourself.
These are the good old days
you're going to miss in the years ahead.

mercredi 23 juin 2010



Partyy :)

(Lire ici: cheveux mouillés, « bouteilles d'eau »
et beaucouuuup de nouveaux amis)

mardi 22 juin 2010



Ça fait beaucoup plus mal parce que ça vient de toi.
Crétin.

lundi 21 juin 2010



« I like the way you're not afraid, you've got the world planned in your mind » - Joshua Radin

Risquer / Oser ?
Risquer une réponse.
Risquer de se tromper.
Risquer de gagner.
Risquer de se faire prendre.
Risquer de se faire mal.
Oser regarder dans les yeux.
Oser un « t'es pas game ».
Oser la tequila. double shots.
Oser demander.
Oser recevoir.


Truth or dare? Tell me, show me.